• « L'Etat d'Israël » est-il « l'Israël de Elohim » ? (1ère partie )

    J Y Hamon

    « L'Etat d'Israël » est-il « l'Israël de Elohim » ? (1ère partie )




    Il y a un nom qui revient sans cesse dans les Écritures mais aussi dans l'actualité politique : « Israël »  !

    Cependant, quand on échange à ce sujet, on s’aperçoit qu’il y a unvraie méconnaissance de ce qu’est vraiment cet « Israël ». Plusieurs définitions sont avancées, mais elles ne permettent pas de comprendre la totalité du sujet et selon un adage que nous pourrions retenir comme une boussole : 
    « ce qui est vrai n’est pas la Vérité.» 

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  • La parachah Chémoth

     "Extrait de la Bonne nouvelle du Royaume"

    mp13_chemoth

    Cette semaine nous étudions la parachah  Chémoth  (< cliquez sur le titre pour télécharger le fichier )  commentaire de 2012

    une nouvelle leçon d’hébreu concernant les chiffres et nombres est disponible en téléchargement à l’index « Langues de la Bible » 

    Pensée :

    “Et il dit, N’approche pas d’ici ; ôte tes sandales de tes pieds, car le lieu sur lequel tu te tiens est une terre sainte.” (Ex 3:5)

    “Et le chef de l’armée de YHVH dit à Josué, ôte ta sandale de ton pied, car le lieu sur lequel tu te tiens est saint. Et Josué fit ainsi.” (Jos 5:15)

    Voici Moïse puis Josué face à une situation similaire. Là où se tient l’Ange du buisson puis le chef de L’armée de YHVH, ce lieu est sacré. L’Ange est dans les deux cas le même. Quelle est cet apparition du céleste, tantôt feu, tantôt soldat l’épée à la main ? Le même qui répondait à Manoah qui lui demandait son nom :

    “Et l’Ange de YHVH  lui dit, Pourquoi demandes–tu mon nom ? Il est merveille.” (Jug 13:18)

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  • Vous m'appelez Seigneur et vous ne faites pas ce que Je dis

    1ère partie

    Auteur: Ruault Patrick

     mont du temple

    Hébreux 3 :1 C’est pourquoi, frères saints, qui avez part à la vocation céleste, considérez l’apôtre et le souverain sacrificateur de la foi que nous professons, 2 Jésus, qui a été fidèle à celui qui l ’a établi, comme le fut Moïse (apôtre aussi) dans toute sa maison. 

     

    L'Apôtre Jésus a formé douze disciples pour qu'à leur maturité ceux-ci deviennent apôtres à l'image du Maître.

     

    Révélation 21:14 La muraille de la ville avait douze fondements, et sur eux les douze noms des douze apôtres de l'agneau


    Quand on regarde les fondements du temple de Jérusalem on s'aperçoit qu'ils sont gigantesques. Dieu a posé de solides fondements même si le temple a été détruit les fondements demeurent, mais de « mauvaises » herbes ont poussé (fausses doctrines) dans ses pierres !

    Comme nous le voyons dans le domaine physique, d'autres sectes et religions ont bâti sur les fondements du Temple, il en est de même spirituellement !

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  • Nous ne sommes plus sous la Loi

    Source: 119Ministries

    Traduction: Benjamin Peyrol

    Qu'est-ce que l’apôtre Paul voulait dire quand il dit que nous ne sommes plus sous la Loi mais sous la grâce?

    Enseignement pour comprendre le sens de ce verset souvent utilisé à tort pour dire que le sacrifice de Yeshoua nous permet aujourd'hui de vivre sans se préoccuper des instructions que YHWH a transmit à Moise.

    Article original:
    https://www.youtube.com/watch?v=CWWg9ZKOc6g

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  • C’EST PAS SOURCÉ #1 : Aux sources des origines païennes du christianisme (partie 1/2)


    On entend souvent dire que les chrétiens ont tout piqué aux païens, donc pour cette première vidéo sur la piste des origines païennes du christianisme, Lays et Antoine regardent d’abord le motif du crime : qui commence à accuser les chrétiens d’avoir tout piqué aux païens ? Quelles sont nos sources ?

    Pour ce premier épisode, un début d’enquête qui nous mène des ruines romaines de Lousonna aux colons anglais en Inde en passant par les protestants genevois du XVIIe siècle.

    Transcript de l’épisode : (avec liens vers les œuvres citées)
    http://bit.ly/1D28JTy

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  • La Prière

    Michel Yeshayah

     

    Nomination de la prière

     

    LA PRIERE

    La prière se nomme globalement téfila (Isaïe 1, 15), de la racine pll qui veut dire s'évaluer, se juger (léitpallél). Cela nous indique que la prière est autant pour l'homme que pour Elohim.

    La prière est appelée par 10 noms différents qui ont chacun une caractéristique particulière (âssaraléchonoteniqréte téfila) :

    • chaveâ(Exode, 2, 23) qui comporte la supplication,
    • tséâqa(Exode, 2, 23) qui comporte le cri,
    • néâqa(Exode, 2, 24) qui comporte le soupir et le gémissement,
    • rinna(Jérémie 7, 16) qui comporte la supplication bruyante,
    • péguiâ(Jérémie 7, 16) qui comporte l'attitude de cogner, porter atteinte,
    • bitsour(Psaume 18, 7) qui comporte l'angoisse qui étrangle,
    • qeria(Psaume 18, 7) qui comporte l'appel,
    • nippoul(Devarim 9, 18) qui comporte la chute de prosternation suppliante,
    • palloul(Psaume 106, 30) qui comporte l'action de faire justice,
    • ta'hanounim(Devarim 3, 23) qui comporte l'imploration. (Moshé )

     

    Cinq (05) psaumes sont nommés explicitement "prière", téfila (psaumes 17, 86, 90, 102, 142). Les autres formes de nomination des psaumes (chant, poème, mizmor, chir...) sont une question différente. Ces divers mouvements intérieurs dans la prière nous indiquent que la prière est un art, dont on a à apprendre les nuances. Comment?

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