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    La nouvelle Jérusalem

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    APOCALYPSE 21:9-21

    La nouvelle Jérusalem

     

    Dans la vision précédente, l’apôtre Jean a vu l’apparition d’un nouveau ciel et d’une nouvelle terre. Au milieu de ce monde nouveau, il a vu descendre la nouvelle Jérusalem, “prête comme une épouse qui s’est parée pour son époux” (21:2). Cette nouvelle Jérusalem représente l’Église du Seigneur parvenue dans sa gloire complète. L’Église occupera une place toute privilégiée dans le monde à venir. Elle sera tellement glorieuse et tellement importante aux yeux de Dieu que le Seigneur donne à Jean une nouvelle vision pour nous faire voir toute la beauté et toute la grandeur de l’Église symbolisée par la nouvelle Jérusalem. À quoi une épouse prête et parée pour son époux peut-elle bien ressembler? La vision d’Apocalypse 21:9 à 22:5 en donne les détails sous l’image d’une ville sainte. La première partie de cette vision nous décrit la structure, les dimensions, les matériaux qui la composent et l’éclat magnifique de sa beauté (21:9-21). La dernière partie (que nous verrons une prochaine fois) nous présente l’intérieur de cette ville et son l’environnement (21:22 à 22:5). 

     

    Thème: La nouvelle Jérusalem est l’Épouse de l’Agneau prête pour son Époux.

     

    1. La gloire de la ville (21:9-11)

    2. Les structures de la ville (21:12-14)

    3. La forme et les mesures de la ville (21:15-17)

    4. Les matériaux de la ville (21:18-21)

     

    1. La lumière éclatante de la ville (21:9-11)

     

    Notons tout d’abord que le verset 9 commence par attirer notre attention sur l’identité de l’ange venu montrer à Jean cette vision grandiose. “Puis un des sept anges qui tenaient les sept coupes remplies des sept dernières plaies vint et me parla…” (21:9).

     

    Quelle est l’utilité de savoir que c’est un des sept anges tenant les sept coupes qui montra l’épouse?

     

    Les sept coupes de la colère de Dieu ont déjà été déversées par sept anges envoyés par Dieu pour exercer ses jugements sur le monde (Apocalypse 15 et 16). Le fait que ce soit l’un de ces sept anges qui est choisi pour révéler à Jean la nouvelle Jérusalem signifie que les jugements de Dieu et ses bénédictions ont un rapport entre eux. L’exécution des derniers jugements prépare la voie à la réalisation de la bénédiction ultime. Cela devrait nous procurer un grand encouragement lorsque nous voyons les différents jugements de Dieu mis à exécution aujourd’hui. C’est la raison pour laquelle le Seigneur Jésus dit à ses disciples que, lorsque les jugements commenceront à se produire, ils doivent lever leur tête, car leur rédemption est proche (Luc 21:28). Il est remarquable que c’est l’un de ces sept anges qui montra à Jean le jugement de Babylone, la grande prostituée (17:1), tout comme c’est encore l’un de ces sept anges qui lui montre la gloire de la nouvelle Jérusalem, l’épouse de l’Agneau. Il est évident qu’il existe un lien étroit entre les deux. Cela souligne le contraste frappant entre le malheur de Babylone et le bonheur de la nouvelle Jérusalem. La dévastation complète de la ville prostituée prépare la vision magnifique de la ville qui est l’Épouse de l’Agneau. Le système mondial du mal doit faire place à l’établissement définitif de l’Église rachetée qui paraîtra dans toute sa perfection. La ruine de Babylone sera aussi totale que la gloire de Jérusalem sera radieuse! C’est sans doute aussi la raison pour laquelle Jean doit être transporté “sur une grande et haute montagne”, afin qu’il puisse bien voir la grandeur et la gloire de la ville qui lui sera révélée.

     

    Il arrive parfois que les lecteurs ou les commentateurs confondent la nouvelle Jérusalem au nouveau ciel et à la nouvelle terre à venir. Cela ne correspond pas à la description que nous trouvons dans ce chapitre. Le texte dit clairement au verset 9: “Viens, je te montrerai l’épouse, la femme de l’Agneau”. Puis Jean est transporté en esprit sur une grande et haute montagne pour que l’ange lui montre “la ville sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel, d’auprès de Dieu”. Jérusalem n’est pas le ciel, elle descend du ciel, d’auprès de Dieu. Autrement dit, elle tire son origine de Dieu lui-même. Jérusalem est le symbole de l’épouse, la femme de l’Agneau. Cette Église existe déjà maintenant sur la terre, bien qu’actuellement remplie d’imperfections. Le Seigneur la rassemble depuis le commencement du monde jusqu’à la fin. La nouvelle Jérusalem, c’est l’Église de tous les temps dans son état glorifié telle qu’elle sera manifestée au jour du Seigneur. Nous pourrions dire que c’est l’Église glorifiée, présentée dans le contexte du nouveau ciel et de la nouvelle terre. L’Église et l’univers ne sont pas identiques, mais unis ensemble. Les yeux de l’Époux admireront certes l’ensemble de la nouvelle création, mais ils seront tout particulièrement tournés vers son Épouse bien-aimée!

     

    Pourquoi l’épouse s’appelle-t-elle “la femme de l’Agneau” et quelle est sa principale caractéristique?

     

    L’épouse s’appelle “la femme de l’Agneau” parce que le Seigneur Jésus a fait d’elle son épouse en versant son sang pour elle (Éphésiens 5:25-26). Elle s’appelle aussi “la ville sainte”, car elle a été sanctifiée par le sang de l’Agneau et elle est maintenant parvenue à la sainteté parfaite.

     

    Elle avait la gloire de Dieu; son éclat était semblable à celui d’une pierre très précieuse, d’une pierre de jaspe transparente comme du cristal.” (21:11). La suite du texte nous présente les détails de sa construction et de sa beauté, avec l’énumération des portes, de la muraille, des fondements et des différentes pierres précieuses qui ornent son architecture. Mais nous avons d’abord l’impression générale que Jean reçoit devant cette vision glorieuse. La ville reflète la gloire de Dieu, preuve de la présence de Dieu dans la ville, car la gloire de Dieu est la manifestation de Dieu lui-même. “L’éclat” de la ville est comme une pierre très précieuse, “une pierre de jaspe transparente comme du cristal”, c’est-à-dire de la plus grande pureté (4:3). La ville brille d’une lumière éclatante. Cela nous rappelle la vision du temple donnée à Ézéchiel (Ézéchiel 40-43), de même que les prophéties d’Ésaïe aux chapitres 54 et 60. La restauration de Jérusalem annoncée par ces prophéties trouve son plein accomplissement dans la vision de la nouvelle Jérusalem, qui possède la gloire de Dieu et qui est la cité de Dieu. Voilà la principale caractéristique de l’Épouse de l’Agneau: une gloire, une sainteté et une beauté parfaite aux yeux ravis de son Époux! Il n’y a rien de plus éclatant de gloire que cette communion entre l’Agneau et son épouse. La nouvelle création sera illuminée par cette communion entre Dieu et son peuple.

     

    2. Les structures de la ville (21:12-14)

     

    Nous arrivons maintenant à la description des différentes composantes de la ville. Nous avons tout d’abord les structures générales: une grande et haute muraille, douze porte et douze fondements. Nous devons toujours garder à l’esprit que nous étudions un livre qui n’a pas pour but d’être compris littéralement, mais symboliquement. L’Apocalypse est une révélation de Jésus-Christ qui exprime l’inexprimable avec l’aide de différents symboles. Par exemple, lorsque “la muraille” de la ville est mentionnée, cela ne veut pas dire que la nouvelle Jérusalem sera entourée d’une muraille de briques ou de pierres. Il faut comprendre que son sens est symbolique.

     

    Quelle est la signification de la grande et haute muraille entourant la nouvelle Jérusalem?

     

    Une muraille a pour fonction de protéger la ville des ennemis ou des envahisseurs et de garder ses habitants en sécurité. La grande et haute muraille signifie que la nouvelle Jérusalem goûtera à une parfaite sécurité. L’Église restera éternellement en communion avec Dieu, sans que rien ne vienne plus jamais menacer cette communion, ni nos propres péchés, ni des ennemis extérieurs comme le monde ou Satan et ses alliés.

     

    La présence des douze portes signifie que l’on pourra facilement avoir accès à la ville. Avant l’établissement final de la nouvelle Jérusalem, il y a encore un grand nombre d’occasions qui sont données aux hommes d’entrer dans la communion bénie avec Dieu par la foi en Jésus-Christ. Mais comme l’indique la présence des douze anges sur les douze portes, la ville est bien gardée par ces gardiens qui ne laisseront entrer personne qui n’y soit pas autorisé. L’Église vivra ainsi dans une parfaite sécurité, mais son accès sera limité au véritable peuple de Dieu. Le verset 8 nous avait déjà clairement fait savoir que “pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les débauchés, les magiciens, les idolâtres et tous les menteurs, leur part sera dans l’étang brûlant de feu et de soufre”.Plus loin, le verset 27 nous confirme qu’il n’entrera dans la nouvelle Jérusalem“rien de souillé, ni personne qui se livre à l’abomination et au mensonge, mais ceux-là seuls qui sont inscrits dans le livre de vie de l’Agneau”. Les anges aux portes de la ville veilleront à ce que la sainteté de l’Église soit bien gardée! Après tout, elle est l’Épouse de l’Agneau; elle doit être gardée pure et irréprochable pour son Époux!

     

    Le nombre douze, souvent répété dans ce chapitre, est le nombre du peuple de Dieu, représenté par les douze patriarches et les douze apôtres, où encore par les douze tribus d’Israël. Il n’est donc pas surprenant de trouver les noms de ces tribus inscrits sur les portes de la ville. C’est une indication évidente qu’il s’agit bien de la ville de Dieu et de son peuple descendu du ciel (voir Ézéchiel 48:30-35; Apocalypse 7:4-8). “Des noms y étaient inscrits, ceux des douze tribus des fils d’Israël: à l’orient trois portes, au nord trois portes, au midi trois portes et à l’occident trois portes.” (21:12-13).

     

    Que symbolisent les trois portes ouvertes en direction de chacun des quatre points cardinaux?

     

    Premièrement, cela exprime la nature de la ville qui est ouverte à tous ceux qui sont autorisés à y entrer. Deuxièmement, cela explique que ses citoyens ne viennent pas d’une seule nation, mais qu’ils sont rassemblés de partout dans le monde, formant ensemble l’Église catholique, universelle.

     

    La présence de “trois portes” à chacun des points cardinaux exprime le fait que, bien que l’accès à l’entrée soit limitée au peuple de Dieu, il n’existe aucune restriction quant à leur admission. Ce n’est pas une porte, mais bien trois qui sont prêtes à les accueillir sur chacun des quatre côtés, pour un total de douze portes. Dieu n’aurait pas pu donner une porte plus ouverte (3:8).

     

    Pourquoi les noms des apôtres sont-ils écrits sur les fondements des murailles de la ville?

     

    Les noms des “douze apôtres” gravés sur les fondements de la muraille indiquent que l’Église est construite sur le fondement des douze apôtres, qui sont les ambassadeurs du Christ (Matthieu 16:18). C’est par leur témoignage mis par écrit que le Seigneur rassemble son Église de toutes les nations et c’est sur l’enseignement des apôtres que l’Église est solidement fondée (Éphésiens 2:20; 1 Corinthiens 3:9), Jésus-Christ étant lui-même la pierre angulaire.

     

    Le fait qu’il soit précisé qu’il s’agit des douze apôtres “de l’Agneau” souligne que le rassemblement de l’Église est basé sur l’oeuvre expiatoire de l’Agneau de Dieu (1 Corinthiens 3:11; Éphésiens 2:20).

     

    3. La forme et les mesures de la ville (21:15-17)

     

    Après l’impression générale qui se dégage de la ville sainte (éclat glorieux) et après une description des principales structures de la ville (murailles, portes, fondements), Jean reçoit maintenant une révélation plus précise du plan de la ville, en particulier ses mesures et sa forme.

     

    Celui qui me parlait avait pour mesure un roseau d’or, afin de mesurer la ville, ses portes et sa muraille.” (21:15). Il s’agit encore d’une allusion à la vision d’Ézéchiel 40:3-5. Le mesurage de la ville signifie encore que ses habitants vivront en sécurité et qu’ils appartiendront pour toujours au Seigneur. Ses murs et sa forme ne seront jamais détruits ou altérés de quelque manière que ce soit. La ville est la propriété de Dieu. Du point de vue de Dieu, le fait de mesurer la ville représente le décret divin qui assure à la ville qu’il sera toujours présent avec son peuple et que rien ne viendra jamais menacer son Église.

     

    Quelle est la signification de la forme et de la dimension de la ville?

     

    La ville avait la forme d’un carré, sa longueur était égale à sa largeur. Il mesura la ville avec le roseau: 12,000 stades; la longueur, la largueur et la hauteur en étaient égales.” (21:16). Selon les normes architecturales modernes, on pourrait penser que la forme cubique de cette ville est plutôt monotone et sans originalité. Notre façon d’aborder la Bible devrait rechercher à comprendre les Écritures par les Écritures, et non pas au moyen de critères modernes extérieurs à la Bible. La forme cubique de la ville nous rappelle la forme cubique du lieu très saint dans le tabernacle ou dans l’ancien temple de Jérusalem. Le cube représente la forme parfaite, semblable au lieu que Dieu choisit pour résidence dans l’Ancien Testament. Le cube représente donc la perfection de l’Église garantie par la présence de Dieu au milieu de son peuple. L’harmonie totale de la ville est exprimée par sa disposition. La mesure de 12 000 stades pour chacune des trois dimensions confirme cette idée que l’Église sera complète et parfaite (12 x 1000 au cube). Le peuple de Dieu sera parfaitement complet, l’Église sera universelle au plus haut degré. La mesure de “douze mille stades” est l’équivalent d’environ 2400 kilomètres. La dimension énorme de la ville symbolise sa grandeur inimaginable. Elle contient de l’espace pour la multitude qui ne peut pas être comptée (voir 7:8). De plus, l’instrument qui est utilisé pour mesurer la ville est fabriqué d’un matériau précieux, ce qui semble également indiquer que les mesures qui seront prises révéleront la grande perfection de la ville.

     

    Comparé à la hauteur et à la largeur gigantesque de la ville, la muraille ne mesure cependant que 144 coudées, soit environ 70 mètres. Si l’on devait comprendre ces mesures de façon littérale, on arriverait à d’étranges proportions. S’agit-il de l’épaisseur du mur? S’agit-il de sa hauteur? Dans un cas comme dans l’autre, la mesure serait plutôt élevée. Faudrait-il alors comprendre qu’il s’agit de sa longueur, comme on comprend les autres mesures? Dans ce cas, une telle mesure n’a simplement pas de sens considérant les dimensions de la ville elle-même. Certains essaient de résoudre le problème en s’imaginant qu’une coudée angélique ne mesure pas la même longueur qu’une coudée humaine. Le texte lui-même répond cependant comme suit: “Il mesura la muraille: 144 coudées, mesure d’homme qui était celle de l’ange” (21:17). Cela peut paraître contradictoire qu’une mesure d’homme soit équivalente à une mesure d’ange. Il faut simplement comprendre que Jean voit des images terrestres symbolisant des vérités spirituelles. La mesure humaine est l’image littérale qui doit être interprétée de façon symbolique (mesure d’ange). Le nombre 144 (carré de 12) représente donc encore une fois la perfection du peuple de Dieu, bien gardé à l’intérieur des murs de Jérusalem.

     

    4. Les matériaux de la ville (21:18-21)

     

    Il reste à considérer la description des matériaux composant la muraille, les fondements et les portes de la ville. Ces matériaux sont constitués d’or, de pierres précieuses et de perles.

     

    Pourquoi est-il question d’or, de pierres précieuses et de perles dans la description de la ville?

     

    La muraille était construite en jaspe et la ville était d’or pur, semblable à du verre pur.” (21:18). Ce jaspe et cet or pur qui constituent les matériaux avec lesquels la ville est construite, ainsi que les pierres précieuses qui décorent les fondements des murailles nous présentent Jérusalem comme une ville d’une splendeur incomparable. Pour reprendre les paroles du Psaume 50:2, Jérusalem est d’une “beauté parfaite”. Ces matériaux représentent la gloire de l’Église déjà mentionnée au début de la vision. L’Église glorifiée sera radieuse, remplie de richesse et d’une beauté parfaite. La transparence de certaines pierres représentent sa pureté, les diverses couleurs qui s’y retrouvent indiquent la sagesse variée de Dieu dans la diversité de son éclat.

     

    Les pierres précieuses des fondements, bien que traduites par des noms différents, correspondent pour la plupart aux pierres sur le pectoral du souverain sacrificateur, où les noms de chacune des tribus était gravés (Exode 28:17-20 et 39:17-20). Huit des pierres précieuses mentionnées dans l’Exode sont ici répétées. Les différences dans les noms des pierres dans l’Apocalypse sont des équivalences sémantiques des noms que l’on retrouve dans l’Exode. Ces pierres symbolisaient tout Israël. La sagesse variée de Dieu, reflétée dans son Église, est symbolisée par ces pierres et par leur variété colorée. Elles représentent avant tout le fait que l’Église est précieuse pour Dieu.

     

    À l’éclat de la muraille et des fondements s’ajoute la splendeur des portes, qui consistent chacune en “une seule perle”. La grosseur de ces énormes perles fait voir encore une fois la beauté de la ville, mais donne aussi une indication de la grâce abondante accordée à ceux qui forment la ville de Dieu. Même la place (la rue) de la ville est d’or pur, comme du verre transparent. Il ne se trouve rien dans la ville qui ne porte pas la marque de la gloire de Dieu. La nouvelle Jérusalem est très certainement triomphante! (voir Ésaïe 54:11-12).

     

    En conclusion, la vision que Jean a reçue de la nouvelle Jérusalem nous présente l’Église glorifiée dans sa beauté parfaite. Cette Église est une, car il n’y a qu’une seule nouvelle Jérusalem, une seule épouse de l’Agneau. Elle est sainte, car elle est rendue sans défaut et sans tache. Elle est catholique ou universelle, car elle est composée de gens de toutes nations. Elle est apostolique, car elle est fondée sur le fondement des apôtres, Jésus-Christ étant la pierre d’angle. L’Église aujourd’hui possède déjà ces caractéristiques, mais elle les possédera dans toute sa plénitude lorsqu’elle descendra du ciel parée pour son Époux. La vision de Jean ne nous décrit pas les détails de la beauté de la nouvelle création à venir, mais plutôt la splendeur de l’Église telle qu’elle sera dans l’éternité. C’est le but principal que Dieu poursuit actuellement et jusqu’à la fin et c’est en même temps la principale source de consolation de l’Église militante qui combat encore aujourd’hui. Levons nos têtes et consolons-nous par ces paroles. Le Seigneur Jésus victorieux rassemble de jour en jour son Église encore très imparfaite afin de la mener un jour à la perfection.

     

    Paulin Bédard, pasteur

    http://beauce.erq.qc.ca/2011/09/08/la-nouvelle-jerusalem/

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