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Blog de confession chrétienne évangélique traitant de sujets relatifs au salut, à Israel, la fin des temps,les prophéties bibliques, la sanctification, doctrine chrétienne

Les 10 tribus perdues d'Israel: où en est-on?

Un peu d'historique

Les douze tribus d’Israël sont : Ruben – Siméon – Lévi – Juda – Dan – Nephthali – Gad – Aser – Issacar – Zabulon – Joseph – Benjamin

Après une période de division, les tribus sont unifiées d’après la Bible par le roi Saül, auquel succèdent le roi David et enfin le roi Salomon.  Après la mort de ce dernier, vers – 930, la Bible indique que son royaume se coupe en deux : au nordle royaume d’Israël, centré sur 10 tribus et sa capitale, Samarie,au sud, le royaume de Juda, centré sur seulement 2 tribus (Benjamin, Juda et une partie des Lévitesavec sa capitale Jérusalem, tribus dont sont issus les juifs que nous connaissons aujourd’hui.

Les dix tribus du Nord sont en fait 11 : Ruben, Siméon, Issacar, Zabulon, Dan, Nephtali, Gad, Acher, les 2  demi-tribus issues de Joseph : Ephraïm et Manassé, et une partie de la tribu de Lévi (tribu sacerdotale sans territoire). Ces tribus-là ont été dispersées et on les a crues perdues pendant des millénaires. Elles reviennent aujourd’hui progressivement en Israël.

 

Le royaume d’Israël

Le royaume d’Israël a été créé en – 1005 avant l’ère courante, puis au bout de quelques dizaines d’années s’est scindé en 2 royaumes, Israël au Nord (en gros la Samarie) et la Judée au sud de Jérusalem. Le royaume d’Israël a disparu au début du 8ème siècle avant l’ère courante, provoquant la dispersion de dix tribus dans le monde et le royaume de Judée a perduré jusqu’en 70, lors de la destruction du 2ème Temple de Jérusalem par les légions romaines.

Le Royaume de Judée a ainsi duré plus de 11 siècles, plus ou moins indépendant. Et c’est la dispersion de ce Royaume qui a donné les Juifs de la Diaspora d’aujourd’hui.

La dispersion du Royaume d’Israël a donné, elle, les "tribus perdues" dont certaines sont en train d’être retrouvées.

Depuis cette destruction de + 70, le pays a été occupé par de nombreux envahisseurs successifs. Ce pays a été appelé "Palestina" par les premiers envahisseurs, les Romains. Les Juifs-Judéens n’ont pourtant jamais cessé de résider dans ce pays. Et la majorité des résidents étaient Juifs jusqu’à l’invasion arabe en 636.

Les Juifs de la diaspora sont toujours revenus s’installer dans le pays appelé Palestine, mais en petit nombre. Le retour des dispersés de Judée s’est intensifié à partir du 19ème siècle et surtout après la première guerre mondiale.

Ainsi dès 1868, il y avait déjà une majorité juive à Jérusalem et selon Karl Raedeker, en 1906, il y avait à Jérusalem 40 000 Juifs, 13 000 Chrétiens et 7 000 Musulmans. Au moment de la déclaration Balfour en 1917, il y avait 250 000 arabes en Palestine et plus de 100 000 Juifs. La plupart des Juifs comme des Arabes étaient des immigrants, les uns d’Europe, les autres des pays environnants de l’empire ottoman.

Après l’effondrement de l’empire ottoman, la Palestine-Jordanie a été placée par la Société des Nations sous mandat britannique. Le territoire prévu pour le retour des Juifs dans la déclaration Balfour comprenait la Palestine et la Transjordanie (Jordanie actuelle et un morceau d’Irak). En 1923, pour compenser le roi hachémite Abdallah qui régnait sur le Hedjaz de la perte de l’Arabie, donnée à la tribu des al Saoud, Churchill lui accorde la Jordanie, soit 80% du territoire promis aux Juifs. Dans l’esprit de Churchill, c’était aussi la création d’un nouvel état qui devait recevoir tous les arabes de la Palestine-Ouest vers la Palestine-Est appelée Jordanie, par leur déplacement à l’Est du Jourdain. Si cette vision de Churchill avait été exaucée à l’époque, il n’y aurait pas eu de problème arabo-israélien.

Après la création d’Israël, entre 1948 et 1967, 650 000 arabes se sont réfugiés en Jordanie, au Liban ou en Syrie, ou se sont déplacés vers la région de Gaza, sous autorité égyptienne, ou vers la Judée-Samarie, envahie puis gouvernée par le roi de Jordanie. Parallèlement 900 000 juifs ont quitté les pays arabes, la plupart expulsés. La majorité d’entre eux a trouvé refuge en Israël, créé par l’Onu en 1948, sur un minuscule territoire, soit moins de 10% de celui prévu par Balfour en 1917.

Les fondateurs du nouvel Etat avaient le choix entre plusieurs désignations pour cet Etat, Palestine, Israël, Nouvelle Judée… Ils ont choisi le nom générique d’une nation et de celui du royaume du Nord dispersé, Israël. Les terminologies "Nouvel Israël" ou même "Nouvelle Judée" auraient été plus réalistes. Car il ne faut pas perdre de vue que peu de gens dans le monde savent qu’Israël était une nation d’il y a 3 500 ans et un royaume d’il y a 3 000 ans, qui a duré 3 siècles pour une partie et 11 siècles pour une autre.

Il s’agit donc bien d’une renaissance d’un état et non de sa création. Et c’est ce qui semble effrayer aujourd’hui d’éminents arabes vivant dans l’imaginaire de leur religion et de leur culture, et ne se rendant pas compte qu’Israël est une réalité pérenne qui peut les aider à s’émanciper. (Albert Soued – Nuitdorient.com)

Les tribus perdues d'Israël

 

Le royaume d’Israël a été détruit en – 722 avant l’ère commune par l’Empereur Assyrien Salmanasar V (ou Salmanazar, – 727-722) après avoir assiégé 3 ans son roi Osée (- 732-722) dans sa capitale Samarie. Celui-ci ne payait plus le tribut et essayait d’obtenir l’appui de l’Egypte pour retrouver l’indépendance. 

 

Les tribus perdues d'Israël

 

On compte 10 tribus « perdues » du royaume d’Israël:

La tribu de Joseph était divisée en trois éléments territoriaux et de population à des fins d’héritage terrien : Éphraïm et les deux subdivisions de Manassé. Par conséquent, les « dix tribus perdues » sont dix groupes terriens perdus et sont représentées comme suit :

Ruben Aser
Éphraïm Dan
Issacar Demi-tribu de Manassé
Nephthali Zébulon
Gad Demi-tribu de Manassé (Makir)

Il est bien connu qu’il y a des indications claires que tous les membres des tribus citées ci-dessus n’ont pas été emmenés en captivité. Certains membres de ces tribus ont été laissés dans le pays, tandis que d’autres cherchaient refuge au royaume de Juda. ( 2 Chroniques 11:16– 17 ; 15:9 ; 30:1, 5–6, 10–11, 25.) En conséquence, les descendants de ces groupes tribaux « perdus » sont restés parmi les Juifs et se sont ainsi répandus dans le monde entier.  (source Forum Juif et Ephraïmite…)

 

Les tribus perdues à travers le monde, par le rabbin Josy Eisenberg

Depuis leur exil en Assyrie, la trace des dix tribus de l’ancien royaume d’Israël semblait à jamais égarée.Un rabbin de Jérusalem affirme l’avoir retrouvée, parmi des peuples d’Asie centrale étrangement attachées à certaines coutumes juives Les "Chiang-Min"-Les "Shin-Lung", Les "Pachtounes", Les "Karenims", Les "Cachmiriens".

35  millions d’individus, disseminés entre l’Afghanistan, le Pakistan, le Cachemire, le Nord-est de l’Inde, les montagnes chinoises du Sichuan et la Birmanie appartiennent à la lignée des dix tribus d’Israël.

Depuis quelques années, avec l’autorisation du ministère de l’intérieur et du grand Rabbinat, de petits groupes des Bnés Ménashé arrivent en Israël et doivent se convertir selon la "halah’a". Ces groupes sont ceux qui en Inde, vivaient depuis longtemps comme juifs religieux, avant même d’avoir pris contact avec le Rav Avihaïl. Les signes du judaïsme qu’ils ont conservés du passé montrent qu’ils appartiennent au peuple d’Israël et qu’ils viennent de la tribu de Ménashé. Selon leur tradition, ainsi que celle de leurs proches qui vivent en Birmanie et en Thaïlande se nommant "Carénim", ils sont venus de Chine et ont perdu leur livre saint qui leur a été peut être pris de force par les chinois. 

Un autre peuple à la même tradition, c’est le groupe appelé "Chiang-Min" qui se trouve à la frontière du Tibet, dans la province chinoise du Sichuan.

Ces trois peuples faisaient des sacrifices et se référaient au Dieu unique. Ils désignent leurs prêtres par le nom de "Cohen".Le peuple Chiang comptait des millions de personnes et aujourd’hui il n’en reste que 250 000. Cela confirme l’hypothèse que les Carenim et les Shin-Lung (les Bné Ménashé) sont arrivés de Chine. Dans le Tanach, il est écrit que le peuple d’Israël viendra aussi du pays des chinois.

Le cas des Pachtounes (Pathans) est encore plus troublant. Les origines juives de ces tribus établies en Afghanistan et au Pakistan avaient déjà été suggérées par le président de l’Etat d’Israël Itzhak Ben-Zvi, à partir des témoignages concordants fournis à leurs arrivée par les Juifs de ces régions. Aprés avoir examiné le dossier , le rabbin Avihaïl attache sans hésiter les Pachtounes aux tribus perdues d’Israël. Il a d’ailleurs recensé un nombre impressionnant d’indices à l’appui de sa thèse . Parmi les 21 nations et langues d’Afghanistan, seuls les pachtounes se distinguent par leur physionomie "sémitiques" certains ont les yeux bleus, et beaucoup , outre la barbe , portent les papillotes. Parmi les usages religieux. : ils pratiquent la circoncision au huitième jour, se marient sous une forme de ‘houppa et les hommes sont habillés d’un vêtement appelé Joy-Namez, couvrant la tête et dont les franges évoquent le talit. Dans le passé, selon des témoignages, ces tribus ne travaillaient pas le shabath, ne cuisinaient pas ce jour-là. Avant le shabath, ils allumaient des bougies et buvaient du vin le vendredi soir, bien qu’ils soient musulmans. Certains portaient une amulette où était écrit le "Shema Israël" ( dans la tribu de Gad). Leur nom ancien était "enfants d’Israël". Seuls, parmi  les musulmans, ils portaient le nom de famille ou le prénom; "Israël", et certains noms des tribus d’Israël. Le Rav Avihaïl a rencontré des Pathans en dehors de leur pays et a envoyé des messagers en Afghanistan et au Pakistan. Il espère que certains d’entre eux arrivent un jour en Israël pour créer des liens avec des Israëliens.

Son prochain objectif, rencontrer en Chine les tribus de "Chiang-Min" et établir avec elles les premiers contacts. La mission de cette association AMISHAV est d’éveiller au judaisme ceux qui en ont éte égarés par l’exil et les hasards de l’Histoire.

Claudine Douillet

 

Documents complémentaires

Vidéo sur les tribus perdues d'Israel

Jean-Marc Thobois nous informe sur la situation des recherches sur les tribus perdues d'Israel , au moment même, il vivait en Israel. 

 

 

Vidéo sur Tribu perdue  en Afghanistan

 

Un autre point de vue (Le monde de demain) les peuples d’Europe occidentale et des Iles Britanniques, font-ils partie des dix tribus perdues ? 

Retrouver les tribus “perdues” d’Israël

Les prophéties sont en marche – n°47 par Douglas S. Winnail

Le mystère des « dix tribus perdues » d’Israël a intrigué les gens pendant des siècles. Où sont-elles aujourd’hui ? Même le président américain, Thomas Jefferson, demanda aux explorateurs Lewis et Clark de rechercher d’éventuelles affinités entre les tribus perdues et les Indiens d’Amérique des Grandes Plaines, au cours de leur expédition. L’écrivain Charles Krauthammer, à l’occasion du 60ème anniversaire de l’Etat d’Israël, nota que Lewis et Clark ne trouvèrent point les tribus perdues parmi les Indiens – et il ajoute, de son propre chef, exprimant ainsi l’opinion générale sur le sujet : « Ils ne les trouvèrent nulle part » (Washington Post, 16 mai 2008. C’est nous qui traduisons tout au long de cet article). Krauthammer, comme tant d’autres, suppose que les « tribus perdues » ont tout simplement disparu dans les méandres de l’Histoire.

Quelques mois après, des journaux décrivaient les Bnei Menashe – un groupe de gens vivant en Inde, voulant émigrer en masse en Israël, et revendiquant « descendre de la tribu perdue de Manashe (Manassé), l’une des tribus exilées de la terre d’Israël par l’Empire assyrien, il y a plus de 27 siècles. » Les Bnei Manashe observent le sabbat, les lois diététiques kasher et le culte dans les synagogues (News Jersey Jewish Standard, 13 août 2008).

Au cours de l’Histoire, d’autres ont prétendu avoir retrouvé des restes des « dix tribus perdues » dans des lieux reculés de la planète. Aujourd’hui, la plupart des érudits considèrent ces récits comme des mythes, et ils affirment que nous manquons de preuves solides sur l’existence de ces tribus à notre époque. Quant aux peuples d’Europe occidentale et des Iles Britanniques, font-ils partie des dix tribus perdues ? Le professeur Tudor Parfitt, de l’université de Londres, dit que les preuves sont « faibles », et reflètent « l’ignorance [des] disciples crédules du mouvement » (The Lost Tribes of Israel : The History of a Myth, pages 53, 62).

Cependant, le point de vue du professeur Parfitt et de ses collègues néglige les indices-clefs bibliques, et ignore la grande preuve historique qui nous permet de découvrir l’identité et la localisation moderne des tribus d’Israël. Peu de gens réalisent que des dizaines de prophéties, relatives à ce sujet important, sont en train de s’accomplir, aujourd’hui !

Pas réellement perdues !

Même si la plupart des érudits modernes ont perdu les traces des tribus israélites, l’identité et la localisation des tribus d’Israël n’ont pas vraiment été perdues ! Jésus a dit à Ses disciples : « Allez plutôt vers les brebis perdues de la maison d’Israël » (Matthieu 10 :6). La « maison d’Israël » se réfère aux douze tribus d’Israël, qui descendent des douze fils de Jacob (Genèse 35 :23-26). Aussi bien la Bible que l’Histoire montrent que les disciples du Christ ont accompli leur mission. L’apôtre Jacques adressa son Epître « aux douze tribus qui sont dans la dispersion » (Jacques 1 :1). L’historien Josèphe, qui était Juif, rapporte qu’au 1er siècle « les dix tribus sont toujours au-delà de l’Euphrate, et forment une grande multitude » (Antiquities of the Jews, 11 :5 :2). L’expression « au-delà de l’Euphrate » révèle que les dix tribus étaient en Parthie – une région située au sud de la mer Caspienne – là où les Israélites avaient été emmenés en captivité, plusieurs siècles auparavant. Le professeur d’Oxford, George Rawlinson, attira l’attention sur le fait que les Parthes faisaient partie des Scythes, que le mot « Parthie » signifiait « exilé », et qu’ils avaient été sous les dominations assyrienne et perse (The Sixth Great Oriental Monarchy, pages 19, 26) – une description qui correspond bien aux Israélites ! Les Parthes ont entendu l’apôtre Pierre parler à Jérusalem, le jour de la Pentecôte (Actes 2 :9). L’historien Eusèbe (263-339 apr. J.-C.), de l’Eglise primitive, rapporte que le disciple du Christ, André, venait de la Scythie, et Thomas de Parthe (The History of the Church, 3 :1 :1). La tradition associe également Barthélemy et Philippe à ces mêmes régions – ce qui montre que les apôtres connaissaient la localisation des tribus israélites, à leur époque.

Les historiens associent les Scythes avec un peuple appelé les Sacae. Dans sa traduction de l’ouvrage d’Herodotus, The Histories, Rawlinson associe les Sacae – mentionnés sur le fameux « Behistun Rock », dans le nord-ouest de l’Iran, que Darius avait fait écrire vers l’an 500 avant notre ère – aux « Bit Khumri de Samarie, ou aux dix tribus d’Israël » (page 378). Le livre apocryphe, 2 Esdras, déclare : (après la chute de l’Empire assyrien) « les dix tribus […] se consultèrent [… pour aller] vers une terre éloignée [… et elles] entrèrent dans l’Euphrate, par les passages étroits du fleuve » (2 Esdras 13 :40-45) – elles montèrent vers le nord, en traversant la Crimée. Au 19ème siècle, l’écrivain londonien, Sharon Turner, publia : « Les émigrants scythes traversèrent l’Araxe [une rivière située entre la mer Noire et la mer Caspienne], ils quittèrent l’Asie et envahirent les Cimmériens, qui étaient rapidement apparus en Europe, au septième siècle avant l’ère chrétienne » (The History of the Anglo-Saxons, volume 1, page 98). Turner décrit comment les Scythes et les Cimmériens (Kimbri, Kumri ou Cymry) finirent par atteindre la Grande-Bretagne, et « les Gallois, qui sont leurs descendants, se sont toujours appelés Cymry » (ibid., page 34) – et effectivement, on peut voir, encore aujourd’hui, ce nom sur leurs cartes postales !

Les critiques sont sceptiques ; le professeur Parfitt qualifie de « bizarre » et de « peu d’importance », l’idée de chercher les dix tribus perdues d’Israël en Amérique, en Grande-Bretagne et parmi les peuples celtiques anglo-saxons issus du nord-ouest de l’Europe (Parfitt, pages 53, 64). Il affirme aussi que des individus à la réputation douteuse, et des érudits des années 1600 et 1700, ont « inventé une généalogie israélite pour les Britanniques » (The Lost Tribes of Israel, pages 41-61). Mais il ignore tout simplement des faits historiques importants. Par exemple, la Déclaration d’Arbroath de 1320 – la déclaration d’indépendance écossaise – affirme que les ancêtres des Ecossais étaient venus de la Scythie en passant par l’Espagne, vers l’an 500 apr. J.-C. – soit environ 1200 ans après la conquête de la Samarie par les Assyriens, en 721 av. J.-C. (voirThe Story of Celto-Saxon Israel, Bennett, pages 96-99). Le britannique Gildas, dans un ouvrage datant des années 500 de notre ère, décrit l’invasion anglo-saxonne comme un châtiment divin sur « ces Israélites » – les Britanniques (De Excidio Britanniae). Les premières annales de l’Irlande appellent certains des tous premiers habitants de l’Ile les « Tuatha de Danann » (The Story of the Irish Race, MacManus, pages 2-6 ; The Flowering of Ireland, Scherman, pages 51-55), qui peut se traduire par « la tribu de Dan » – l’une des tribus d’Israël. Les « Tuatha de Danann » d’Irlande seraient le même peuple que les « Danoi » de Grèce, qui, d’après les légendes locales, étaient montés de l’Egypte, vers l’an 1500 av. J.-C. – soit à peu près à l’époque de l’Exode des Israélites. L’une des caractéristiques de la tribu de Dan était de renommer les lieux qu’elle traversait ou qu’elle habitait (Josué 19 :40-48 ; Juges 18 :11-12, 26-29). Les prophéties bibliques révèlent que les Danites étaient des marins (Juges 5 :17), qui laisseraient leur marque là où ils passeraient : Chypre (appelée “Ia-Dnan”, ou l’Ile de Dan), le Danube, les Dardanelles, Dantzig et le Danemark (voir Bennett, pages 76-79).

En outre, au 17ème siècle, le cardinal Baroneous du Vatican et l’archevêque Ussher d’Irlande – l’un des plus grands érudits de son époque – apportèrent tous deux la preuve que les apôtres Jacques, Paul, Simon Pierre, Simon le Zélote et Joseph d’Arimathée, prêchèrent l’Evangile dans les Iles Britanniques (voir The Whole Works of James Ussher, volume 5, chapitre 1). Ce qui confirme que les apôtres ont suivi l’ordre de Jésus « d’aller vers les brebis perdues de la maison d’Israël ».

Une signification prophétique

Mais pourquoi est-il si important, aujourd’hui, de connaître l’identité et la localisation des tribus d’Israël ? Les prophéties bibliques révèlent les caractéristiques des tribus d’Israël, qui se dégageraient « dans la suite des temps » (Genèse 49 :1).

Moïse prophétisa que les descendants des Israélites se corrompraient et connaîtraient des temps difficiles « dans la suite des temps » (Deutéronome 4 :27-30 ; 28 :26-29). Le prophète Jérémie a averti qu’il y aurait un temps « d’angoisse pour Jacob », ou une époque de tribulations et de châtiments à venir sur les nations israélites pécheresses (Jérémie 30 :1-15). Les serviteurs de Dieu ont reçu la mission d’avertir Son peuple des dangers auxquels il s’expose (Esaïe 58 :1 ; Amos 3 :7). Connaître la localisation et l’identité des nations israélites modernes est une clef pour comprendre les prophéties bibliques relatives à l’avenir des descendants de l’ancien Israël, et cela nous aide à cibler notre message, alors que les prophéties sont en train de s’accomplir, aujourd’hui !

http://www.mondedemain.org/articles/retrouver-les-tribus-perdues-d'israel-f301

 

Autres résultats des recherches concernant les tribus juives (Juda et Benjamin)

Les tribus perdues d'Israël

Une tribu juive retrouvée au Zimbabwé: Les membres de la tribu Lemba, qui mangent casher et pratiquent la circoncision, ont de l’ADN juif.

Il est facile de faire la distinction entre les Lemba et leurs voisins zimbabwéens, ils prient dans une langue riche en racines yéménites et hébraïques ou peignent, par exemple, des étoiles de David sur leurs pierres tombales… Lire la suite sur Univers Torah ici : Une tribu juive trouvée au Zimbabwe

 

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W
Mat. 10:5,6,-23 montre clairement que Jésus parle des brebis perdues des VILLES d'Israel et de ne pas prêcher ENCORE ni aux païens ni aux Samaritains ce qui ne devait être fait qu'après l Ascension. Acts. 1:8
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